Princesses Leya + Psykup @ Crossroad, La Rochelle 24.10.25

Princesses Leya + Psykup @ Crossroad, La Rochelle 24.10.25

24 octobre 2025 0 Par Leeloo

Ce soir, le Crossroad d’Angoulins a explosé sous une ambiance de folie douce ! Si tu n’y étais pas, sache qu’on a frôlé la surchauffe scénique – et pas que parce qu’il faisait 40°C dans la salle.

 

Les Princesses Leya ont ouvert le bal avec leur mélange magique de metal, de vannes, et d’autodérision parfaitement calibrée. Entre riffs acérés, punchlines bien senties et impros plus précises qu’une vanne de Dedo, le groupe a offert un moment à la fois musical et complètement barré.

Mention spéciale à trois moments d’anthologie :
“Balls Balls Balls”, où Dedo a prouvé qu’on pouvait headbanger ET twerker avec élégance – un déhanché impeccable.
“Makeba / Ouais ouais ouais”, un mash-up improbable et génial, dédié à ma fille qui kiffe chanter ces deux chansons comme si sa vie en dépendait (et on la comprend).
“Time of My Life”, moment culte du show où Dedo a littéralement sauté dans le public – Dirty Dancing version metal, personne n’était prêt, mais tout le monde a adoré. Et pas de Shy’m, promis !

GALERIE COMPLETE ICI

 

Puis, quand les lumières ont baissé, Psykup a pris le relais pour un set tout simplement dantesque. J’avais tellement hâte d’entendre les nouveaux titres en live… Voici mes petites impressions.

“I Will Let You Down”, titre de leur dernier album, a retourné la fosse avec ses lights absolument divines et sublimes. “Rise and fall and…” continue de faire jumper la fosse, l’énergie du groupe est communicative. “Same Player” a déclenché un circle pit légendaire grâce à son gimmick (il est tellement magique!) et donne carrément envie de sauter encore plus. “Bigger Than Life” a fait vibrer tout le Crossroad, et “Burn After Hearing” a tout simplement fini le travail — façon uppercut sonore.
Entre wall of death, sueur collective et bonne humeur à la sauce toulousaine, la soirée s’est transformée en véritable exorcisme rock.

GALERIE COMPLETE ICI

 

En résumé : deux groupes, une salle en transe, et des souvenirs plein la tête (et dans les oreilles).
Le metal a beau être bruyant, hier soir, il sonnait juste… parfaitement humain.
Un immense merci à Julian (bassiste de Psykup) pour sa disponibilité et ses sourires entre deux lignes de basse assassines, et évidemment à Princesses Leya pour cette dose d’énergie, de fun et de dérision parfaitement dosée. Merci encore à Jean et JEG du Crossroad pour leur accueil toujours au top ! Rendez vous très vite !