Ricochet, RISE AGAINST

 

Rise Against revient le 15 août 2025 avec Ricochet : un album qui tape, rebondit et revient te mordre le mollet.

Rise Against, c’est un peu comme ce pote engagé qui te tend un pamphlet anticapitaliste… pendant qu’il t’aide à réparer ton vélo. Ils sont de retour avec Ricochet, un album qui ne te laisse pas tranquille : ça frappe, ça ricoche, et ça te colle des idées dans le cortex entre deux riffs incendiaires.

 

“I Want It All” – l’hymne du punk exigeant qui veut plus qu’un mug corporate.

Alors là, accroche-toi. « I Want It All » c’est pas juste une chanson, c’est une déclaration d’impôts émotionnelle, version punk.

Tu veux de la justice, de la dignité, du café équitable et une révolution qui sent bon la sueur ? Eh bien Rise Against aussi.

Et ils le crient avec la subtilité d’un rhinocéros en trottinette :

“Do you want it all?”

“YES. GIMME. RIGHT NOW.”

Dans le clip, t’as l’impression d’assister à un mix entre Fight Club et un film de lycée alternatif avec un moteur qui crache ses valeurs dans un nuage de riffs.

Cette chanson, c’est le manifeste de ceux qui ne veulent plus juste survivre, mais vivre à fond, avec du sens, du bruit, et si possible une gratte qui hurle plus fort que ton patron.

“Ricochet” – ou le flipper émotionnel de la vie moderne.

Tu balances ton avis sur Internet. BIM. Il rebondit sur des gens. BAM. Il revient transformé en missile de division. Aïe.

La chanson “Ricochet” te plonge dans ce joyeux bordel algorithmique où chaque mot peut être une grenade.

Mais Rise Against ne te dit pas de te taire, non non. Ils te disent juste :

“Hé champion, vise bien, ou ton message va rebondir sur un chaton et frapper ta grand-mère.”

“Prizefighter” – ou comment prendre des coups avec panache (et un bon riff).

C’est l’histoire d’un type qui s’est pris la vie en pleine poire, mais qui revient toujours au combat, avec un œil au beurre noir et un cœur plus gros qu’un ampli Marshall.

“Prizefighter”, c’est le Rocky Balboa du punk-rock.

Les injustices ? Il encaisse.

Les défaites ? Il les transforme en énergie de refrains.

La résilience ? Elle a un solo de guitare.

Ce morceau, clairement mon chouchou grillé de cet album, c’est le cri des cabossés qui refusent de devenir cyniques. Genre “Ouais j’ai mal, mais regarde-moi bien : je suis encore debout. Et j’ai une basse qui grogne derrière moi.” La résilience et ce genre de message savent clairement me capter !

 

Imagine un épisode de Punk Heroes : la Révolte des Riffs.

“I Want It All” : le cri du héros qui veut changer le monde ET avoir des frites.

“Ricochet” : la quête du message bien placé, évitant les pièges des trolls et des bots.

“Prizefighter” : le round final contre l’abattement, avec des gants cloutés en espoir.

 

En résumé :

Ricochet, n’est pas juste un album.

C’est une bande-son pour tous les citoyens fatigués mais pas éteints, les guerriers du quotidien en Converse trouées, et les poètes en colère qui veulent chanter plus fort que la tempête.

Et Rise Against ?

Ils te disent :

“Tu veux tout ? Reprends-toi, redresse-toi… et monte le volume.”