Live report, Hellfest 2023
1 juillet 2023 0 Par Chacha
Comme tous les ans, rocknhell était sur le coup pour couvrir le festival de l’enfer. Vous savez, ce tout petit festival ou sonnent décibels saturés dans un petit coin nommé « Clisson Rock City », devenu un mastodonte. Imaginez le petit Bulbizarre trop mignon qui se transforme en Hulk le géant…
Horns up dans 3… 2… 1…
Jour 1
Après avir déposée mes affaire chez mon hebergeuse (petit coucou si tu passes par là), il est temps de fouler le sol du Hellfest en cette première demie journée (cette dernière commence à 16h30).
On démarre les hostilité avec Code Orange, groupe punk hardcore, une bombe d’énergie, chanteur monté sur ressorts, je les découvre en live et rien à redire, c’est de la dynamite. Deux salles, deux ambiances avec Coheed and Cobria, groupe de metal progressif, de surcroit assez rare en France, le set a pris un peu trop de temps à demarrer pour que je les apprécie à leur juste valeur… à revoir en salle peut être? On enchaîne avec I Prevail, qui me mettent littéralement un upercut en pleine face, charisme, énergie, présence, ce groupe de rock de Southfield met tout le monde d’accord, que des hits en puissace, j’espère les revoir assez vite! Il est temps d’accueillir In Flames sur la Mainstage 2, grands habitués du festival, c’est toujours aussi éfficace, certains fans de la première heure ont du mal à accepter leur tournant un peu plus « commercial », perso ce n’est pas pour me déplaire, les musiciens sont des monstres de technique et Anders toujours aussi charismatique, ils ont le sourire au lèvres et son contents d’être là, le public leur rend bien. Mention bien pour Hollywood Vampires, supergroupe composé de Sir Alice Cooper, Mr Joe Perry (Aerosmith) et l’homme aux mains d’argent Johnny Depp, ils reprennent ici surtout pas mal de hits rock des années 70, comme du David Bowie, The Who, Aerosmith, tantôt Alice au chant, tantôt Depp, de quoi faire une pause avant d’attaquer la soirée. On passe aux choses sérieuses avec le combo Architects / Parkway drive, circle pit géant, énergie débordante du début à la fin, quel plaisir de les voir si haut sur l’affiche, ces deux groupes de metalcore méritent amplement leur réputation, ils mettent le feu sans rochigner, la relève est on ne peut plus assurée, on se revoit en salle les gars, j’ai encore envie de m’en prendre plein la gueule encore et encore, sans modération! On termine la journée devant la warzone avec Fishbones, groupe qui résume l’eclecticité à lui tout seul, passant du rock au ska, du punk au funk au blues avec une touche de raggae, incontestablement un Ovni sur cette affiche, je ne boude pas mon plaisir, ça déborde d’énergie autant côté scène que côté audience, de quoi finir sur cette journée le sourire jusqu’aux oreilles!
Jour 2
On démarre avec Vended de bon matin, histoire de bien se réveiller, jeune groupe de nu metal composé ni plus ni moins de Griffin Taylor (fils de Corey Taylor / Slipknot) au chant et de Simon Craham (fils de Shawn « Clown » Crahan / Slipknot) à la batterie, on ressent la fougue de la jeunesse, leur envie d’en découdre, des graines de talent, future tête d’affiche dans quelques années, à coup sur! De nouveau devant la warzone, je me laisse tenter par les punks Brestois de Syndrome 81, mais malheuresement, je n’arrive pas à accrocher, peut être les paroles en Français qui me bloquent? Je ne sais pas… De retour devant une des scènes principales pour découvrir en live Escape The Fate, tout droit venus de Las Vegas, ce groupe post-hardcore m’a déjà bien embarqué sur album studio, mais autant vous dire que leurs morceaux multivitaminés prennent encore plus d’ampleur en live, à revoir en salle avec un set bien plus long! On revient sur nos pas de retour en warzone pour Peter Pan Speedrock et aïe aïe aïe, quelle claque! Complètement ma came, un mélange de hard rock, de punk, ça rapelle Motörhead dans ses plus jeunes années, rien à redire, ils savent comment faire la fête! Découvert durant mon voyage à Londres, quel plaisir de revoir Mod Sun, cette fois sur la Mainstage 2 du hellfest, une pause pop punk rafraichissante dans ce monde de brutes avec une jolie demande en mariage sur scène entre deux festivaliers. La journée continue avec les Britaniques de British Lion avec un Steve Harris à la guitare en grande forme, du bon hard rock qui passe bien pour l’heure du repas. Deuxieme énorme claque de la journée devant le set de Nothing More, du metal alternatif incisif, éfficace, le charisme du chanteur (anciennement batteur du groupe) Jonny Hawkins ne laisse personne de marbre, les musiciens derrière envoient du lourd et laissent exprimer leur énergie debordante face à une audience plus que conquise! Place à Elegant Weapons, supergroupe formé par Richie Faulkner (Judas Priest) à la guitare, Ronnie Romero (Rainbow, MSG) au chant, Christopher Williams (Accept) à la batterie et Dave Rimmer (Uriah Heep) à la basse. Du pure heavy metal comme on aime dans lequel la sublime voix de Ronnie est inévitablement mise en valeur, j’en revient plus que conquise. Passage express en Warzone pour découvrir les punk rockeurs de The Chats, ça se laisse écouter mais rien d’exceptionnel en live, un bon moment néanmoins. Premier passage en valley pour ma part, pour découvrir le groupe 100% instrumental Bongripper et leur son doom bien lourd, je n’accroche pas plus que ça, malgres tout, côté technique, les musiciens jouent parfaitement bien mais le manque de chant finit par m’ennuyer. Après avoir dégusté un cocktail de fruits bien mérité (merci le bar à jus!), direction warzone pour profiter de la fête avec le dernier concert en France de Cockney Rejects. Pionniers de la Oï! en Europe, ils nous offrent ici un concert d’anthologie, survitaminé, de quoi marquer les esprits une toute dernière fois, les gars, vous allez nous manquer! Voici venue la triplette metal alternatif américain Motionless In White / Alter Bridge / Papa Roach, difficile d’être objective concernant ses trois groupes tellement ils sont chers à mon coeur, j’ai grandi avec Papa Roach, Vécu mes premieres histoires d’amour / ruptures avec Alter Bridge et construit ma résiliance avec Motionless In White. Concernant leur musique sur scène, les frontmans sont tous charismatiques, harrenguent la foule qui chante en choeur, ils enchainent hits sur hits, les musiciens quant à eux carressent vigoureusement cordes et fûts comme jamais, à consommer sans modération! Rendez vous en warzone pour se remettre de ses émotions et se dégourdir les jambes devant Flogging Molly et leur punk celtique dansant, c’est bougrement efficace, je me surprend à taper du pied et bouger le popotin malgrè la fatigue, l’énergie de Dave King est sans limite, ça met la banane! La valley jouant en face de la warzone, c’est avec un certain plaisir que je m’y rend pour revoir les Belges de Triggerfinger, toujours avec une certaine classe, Ruben Block, leader incontesté derrière le micro et les riffs accrocheurs dont seul le groupe à le secret, met tout le monte d’accord, la valley est noire de monde, c’est groovy, presque bluesy, ça sort des sentiers battus, c’est mon 3ème concert du groupe et je ne m’en lasserai jamais! Revenons sur nos pas, de retour en warzone pour la bombe explosive qu’est le groupe Rancid, punk rock californien, de quoi retourner à l’adolescence et prendre un bel upercut de plus sur le coin du pif, c’est de la surexcitation sur scène, notamment Tim Armstrong en grande forme, ça pogotte sévère côté festivaliers, bref, un inmanquable sur cette édition 2023! Après avoir honnêtement subi la fin du set de Motley Crue… Pourtant très fan, j’ai du mal à reconnaitre les chansons tellement la voix de Vince est une catastrophe… c’est triste de finir ainsi… Finissons la journée en Mainstage avec les chouchous de SUM 41 (je ne serai pas objective encore sur ce coup là), en profiter jusqu’à la dernière seconde car ce sera probablement leur dernier passage au Hellfest, le groupe a malheureusement annoncé leur séparation pour 2024, ça enchaine hits sur hits, « The Hell Song », « In Too Deep », « Fat Lip », « Still Waiting », tout y passe, la troupe de Deryck Whibley n’a rien perdu de sa superbe, la foule en redemande et moi aussi, quelle claque! J’espère les revoir en salle avant leur départ pour de nouvelles aventures…
Jour 3
La fatigue de la veille se faisant sentir, je me suis fait violence pour arrive pile à l’heure pour le groupe Indien Bloodywood, mêlant intruments folkloriques au nu metal, un mélange on ne peu plus réussi, comme en démontre les festivaliers déjà nombreux devant la mainstage 2 de bon matin et le sourire sur mon visage. On enchaîne sur l’autre mainstage avec les Suèdois d’Enforcer et leur Heavy Metal teinté 80’s avec tout l’attirail qui va avec, cuir, moustache… m’enfin vous voyez… Musicalement, ça tient vraiment la route, le chant tire dans les aigus, ça sonne comme un mélange d’Iron Maiden à ses débuts et Crashdiet, ce n’est pas pour me déplaire, loin de là, c’était même un peu trop court à mon goût. Changement d’ambiance avec Fever 333 et leur trap metal / post-hardcore et leur nouveau line-up, on se souvient de la tornade ressentie lors de leur dernier passage à Clission, la fièvre cru 2023 sera donc un Tsunami, le frontman Jason Butler est une vraie pile electrique, tantôt sur scène qu’en plein milieu de la foule, c’est une énorme claque et un plaisir à photographier, curieuse de voir ce que ça donne en salle! Les fans de rock / metal progressif ont été plus que bien servi avec les deux groupes qui suivent : Evergrey et Riverside, concernant ces deux formations, techniquement impeccables, le public les attendaient nombreux, ça joue précis, mais le plus impressionnant c’est surtout la voix de Mariusz Duda de Riverside, et son humour pince sans rire « J’ai une maivaise nouvelle pour vous, nous ne sommes pas un groupe de metal, mais de rock, et même pire: de rock progressif », « Je ne chanterai qu’en voix claire » et pourtant, l’audience est conquise, une belle découverte. Vous prendrez bien une dose de power metal? En voici avec les Finlandais de Beast In Black, je dois l’avouer, ce n’est plus vraiment ce que j’écoute actuellement, ou à toute petite dose, cependant leur énergie debordante est plus que communicative, aucune note à côté et sourire au lèvres, ce fut un moment fort sympathique. Nouvel ovni sur cette programation, avec le projet whatthefuckesque de Maynard Keenan (Tool / A Perfect Circle), j’ai nommé Puscifer avec son rock experimental psychédélique electro, le spectacle est total, les aliens et autres joyeusetées sont de sortie, très bonne découverte en live autant musicale que visuelle. Les groupes sur scène se suivent et ne se ressemblent pas, place à Arch Enemy et sa charismatique frontwoman Alissa White-Gluz, un des rares groupes de Death Metal jouant en Main Stage cette année, leur son est carré, précis, efficace et puissant, prouesse technique des musiciens et technique vocale de leur chanteuse, la recette est parfaite et le public leur rend bien, un excellent moment! Les loups de Powerwolf nous offrent un set rythmé, efficace, sur une scène magnifique avec orgue géant, le power metal n’est pas mort, la messe est dite. On profite des premiers morceaux d’Iron Maiden, mettant surtout en avant leurs derniers albums en date, Bruce n’a rien perdu de sa superbe, c’est un rock, ni l’âge, ni la maladie n’aura raison de lui, je serai bien resté plus longtemps, mais le Hellfest, c’est aussi faire des choix… Choix difficile certes, mais je ne pouvais pas rater les Americains de Monster Magnet sur la nouvelle valley, leur stoner a tendance a mettre tout le monde d’accord, tous les hits sont de sortie, en passant par « Powertrip » ou « Space Lord », le set etait ma fois trop court à mon goût, toujours aussi bon en live! J’en profite pour aller faire un tour vers la roue de charron. Après avoir fait son petit effet au Burning Man, la voici en terre clissionnaiss exceptionellement cette année. Il s’agit d’une œuvre spectaculaire de l’artiste américain Peter Hudson, un rouet de 20 mètres de diamètres avec des squelettes humains posés dessus. Les spectateurs sont invités à tirer une série de cordes qui font tourner la roue. À bonne vitesse, un stroboscope est activé, révélant l’histoire et l’animation de Charon. Retour sur une des scène principale qui accueile en tête d’affiche les néeralandais Within Temptation, Metal symphonique à leur début, ayant viré un peu plus heavy metal ses derniers temps, la scénographie est magnifique arborant un masque géant, Sharon den Adel en figure de proue, sa voix comme toujours nous montre toute sa palette, envolées lyriques, puissance sur les parties plus heavy, les musiciens autour ne sont pas en reste avec leurs riffs taillés pour le live, un moment magique. Terminer sa journée sous la temple, et me battre pour accéder au sacro sain pit photo pour le set de THE HU, telle est la vie que j’ai décidée de mener. La foule est ici plus que massive, le groupe Mongole ayant explosé ses derniers mois, la scène est devenue trop étroite face à leur renommée. Le groupe arbore a sa musique des instruments traditionnels, tel le Morin khuur et du chant khöömii. C’est une invitation au voyage, un moment suspendu, place de tête d’affiche amplement méritée! Je décide de rentrer dormir et récupérer un peu de cette journée forte en décibels, je profite du son de Carpenter Brut en fond sonore (mon hebergeuse habitant juste derrière la warzone), leur son est tellement bon que je regrette presque de ne pas être restée plus longtemps, ayant connu le groupe à leur début, clôtutrer un des plus grands festival du monde, jour de grande influence, c’est un peu ici leur heure de gloire et la consécration, well done!!
Jour 4
Derniere journée de cette folle épopée, le ciel est gris et menaçant, mais ma motivation intacte. Qu’il vente, qu’il neige, je me dirige doucement mais surement vers la Mainstage 2, découvrir l’univers original et chaotique du groupe SKYND, ils abordent dans leur texte des sujets quelque peu sensibles, comme l’univers des tueurs en séries et massacres de masse, le metal alternatif teinté d’electro fait mouche, très belle découverte de mon côté! S’en suit le groupe Florence Black, toujours sur une des scènes principales, ce power trio Gallois et son hard rock déchaine la foule, déjà nombreuse, c’est catchy, groovy la voix du chanteur est incroyable, groupe à suivre à coup sur, j’ai adoré! Voici LE moment que j’attendait le plus en ce dimanche… et voici que l’orage se fait entendre, suivi de trombes d’eau sur le site… Mais rien n’arrêtera les rockeuses Suedoises de Thundermother, hard rock hyper efficace, leur toute nouvelle chanteuse Linnéa Vikström assure vraiment, ce groupe est une unise à hits, je suis trempée mais le bonheur de les revoir sur scène me fait oublier tout le reste, comme dirait l’autre « the show must go on »! On continue devant les mainstages avec Ho99o9, groupe Americain mélangeant punk et hip-hop pour un changement complet d’univers, c’est hyper efficace, réveille les derniers festivaliers endormis, à revoir sur scène, sans la pluie. Petite pause bien mérité à l’espace VIP histoire d’essorer mon sweat rempli d’eau et avaler un morceau. Batteries rechargées, la pluie s’étann un peu calmée, me voici devant Hollywood Undead, ayant pris une claque lors de leur dernier passage en 2015, je ne pouvait les manquer. Leur rap metal est hyper energique, les cinq chanteurs / musiciens sont placés de part et d’autre de la scène puis échangent gaiement leur place, ils savent comment s’accaparer une scène, malgre la pluie revenue de plus belle, tout le public est conquis, moi la première. Il a suffit qu’Halestorm arrivent sur scène pour que la météo s’appaise pour de bon cette fois, mené de front par l’excellente Lzzy Hale au chant et à la guitare, le groupe enchaîne leurs hymnes, en commençant par « I Miss The Misery » leur hard rock catchy fait sensation, leur énergie débordante est présente de la première à la dernière note, j’en suis ravie, comme toujours, ils ne déçoivent pas. Petit passage express devant Hatebreed et leur punk/hardcore ravageur, à chaque fois c’est un rouleau compresseur qu’on se prend en pleine gueule, l’audience est déchaînée notamment devant leur hit « Destroy Everything », en esperant les revoir en salle assez rapidement, on ne s’en lasse pas, clairement! Place aux joyeux lurons Allemands Electric Callboy et leur electronicore complètement perché, place au dancefloor avec leur titres incontournables « Hypa Hypa », « Spaceman » ou « We Got the Move », la bonne humeur communicative du groupe touche toute l’audience, qui se met à danser avec frénésie, les musiciens arborent sur scènne canon à confétis, tenues autant plus kitch les unes que les autres tout comme dans leurs clips, c’est un anti-dépresseur on ne peut plus efficace! Changement d’ambiance sous la temple avec Grave Pleasures, post rock planant teinté de cold wave, les Finlandais assurent techniquement, c’est parfait en cette fin d’après midi. C’est en me dirigeant vers les mainstages que j’apprend l’annulation d’Incubus, que j’attendait pourtant avec une certaine impatience… quelle déception… Même s’ils sont remplacés à la dernière minute par les espagnols de Crisix qui assurent parfaitement le show avec leur energie communicative et leur sourire jusqu’aux oreilles. Place a un des duo les plus demandé depuis tant d’années sur le festival, j’ai nommé Tenicious D, mélange de sketchs et de musique, beaucoup de références au film « Tenacious D in The Pick of Destiny », Jack Black et Kyle Gass interprètent à la perfection leurs titres les plus connus comme « The Metal », « Tribute » ou bien « Beelzeboss », ils déclenchent l’hilarité générale avec leur solo au saxophone pour enfant suivi de l’arrivée d’un saxophone géant! Quel sacrés lurons ces deux là, j’ai beaucoup ri, mes zygomatique vous remercie. Moment repos pres du feu entre les mainstages et le Kingdom Of Muscadet où des artistes pyrotechniens nous offrent un show spectaculaire, un peu de chaleur dans cette journée relativement fraiche n’est pas de reçu. J’en profite pour écouter attentivement Pantera en fond sonore, Phil à l’air plutôt en forme, moi qui avait des doutes sur cette reformation, ça a plutôt l’air de fonctionner comme l’an 40. Ayant déjà vu Slipknot à 3 reprises, je me dirige pour finir le festival vers la warzone, pour les Americains de The Ghost Inside, leur punk hardcore est plus qu’incisif, autrement dit, ces gars là ne sont pas venus pour enfiler des perles, ils prennent ici une revenche sur la vie après avoir vécu un accident de tourbus, qui a notamment fait perdre une jambe à leur batteur Andrew Tkaczyk, il est bon de terminer cette édition avec un tel rouleau compresseur! A revoir en salle à coup sur!
Je me place au mieux pour profiter du feu d’artifice de clôture, toujours aussi magnifique, comme tous les ans, je verse à ce moment là ma petite larme… Il me tarde déjà d’être à l’année prochaine… c’est grave docteur?
Pour conclure:
Mon TOP 20 (pas pu en choisir que 10…)
– I Prevail
– Parkway Drive
– Architects
– Fishbones
– Escape The Fate
– Peter Pan Speedrock
– Nothing More
– Motionless In White
– Alter Bridge
– Papa Roach
– Flogging Molly
– Triggerfinger
– Rancid
– SUM 41
– Fever 333
– Within Temptation
– THE HU
– Thundermother
– Electric Callboy
– Tenacious D
Mentions spéciales:
Comme tous les ans, gros big up aux agents de sécu, toujours là pour protéger photographes et festivaliers, avec une gentillesse incroyable et surtout avec une efficacité implacable. Un grand bravo à tous les bénévoles, autant côté bar que côté entretien du site, toute la troupe d’intermitents du spectacle derrière le son et la lumiere. Enorme respect pour la prod et les grands cerveaux derrière ce choix de line up, toujours de qualité! Côté ambiance visuelle, on est toujours bien servi, parce que oui, le Hellfest n’est pas QUE de la musique, mais un univers parrallèle, de quoi être dépaysé 4 jours dans l’année et oublier le monde autour. Et côté nourriture, toujours au top niveau, mention spéciale à l’indien et son assiette végane complète pour 10 euros, j’ai pu survivre grâce à vous. Pour terminer, le Hellfest c’est aussi l’occasion de retrouver les copains venus des 4 coins de la France, travailler, rire ensemble, partager nos douleurs articulaires, parler photo, parler musique, il me tarde de vous retrouver!
Petites choses à améliorer:
Pas grand chose à part peut être un acces facilité au niveau du pit photo des mainstages, déplacer l’espace merch artistes aussi. La pluie étant tombée a forte dose sur le site le Dimanche, un peu plus de copots de bois sur certains endroits pas mal boueux n’aurait pas été de refus. Petit bemol sur le réseau 4G à même le site, impossible de capter par moments.