CARPENTER BRUT, nouveau vidéoclip « Leather Temple » à découvrir, nouvel album en 2026, en tournée avec 4 dates en France

Nouvel album « Leather Temple » , sortie prévue début 2026

Quand elle est bien faite, la synthwave est en quelque sorte le heavy metal des morceaux électroniques modernes. Ce sont des sons métalliques et saccadés qui, lorsqu’ils sont joués à la perfection, peuvent évoquer un monde souterrain sordide où la vie ne vaut pas grand-chose, ou un mégacomplexe rutilant destiné aux plus riches.

Un artiste qui incarne parfaitement ce son et cette esthétique n’est autre que le maestro français de la synthwave Carpenter Brut. Ce type a déjà joué dans des festivals de metal, donc vous savez qu’il a déjà été accepté par notre communauté.

Depuis deux ans, il travaille et sort une série d’albums qu’il a baptisée « Leather Trilogy » (la trilogie du cuir) et en 2026, le dernier album de cette série sortira enfin. Bien que les détails sur cet album soient rares, il en a déjà sorti le premier single, intitulé « Leather Temple ».

Plutôt que de m’étendre sur ce morceau, je vais partager la description qui accompagnait le single, car je pense qu’elle en donne une meilleure image que je ne pourrais le faire à l’instant présent :

« [« Leather Temple »] présente Midwichpolis, une ville post-apocalyptique née des retombées nucléaires de 2077, qui est le cœur battant du prochain album.
Cet empire brutal est dirigé par Iron Tusk, et au centre de Midwichpolis se dresse le Temple, la tour d’Iron Tusk, qui s’élève du sol comme une lame noire enfoncée dans le cœur de la ville. Depuis ses centaines d’étages, il domine la Cité Lumière, sanctuaire des Puissants, où la vie n’est qu’une parade de luxe obscène. Là-haut, les nuits ne sont jamais sombres ; les néons et les hologrammes baignent les rues d’une lumière artificielle, cachant la corruption et l’excès derrière les façades de verre.
En dessous, au-delà des murs que personne ne peut franchir, s’étendent les bidonvilles de Midwich, un royaume de pauvreté, de ruines et de peur. Les écrans diffusent sans interruption la propagande de Tusk, promettant ordre et prospérité. En réalité, la misère ronge les rues et la répression s’abat sur quiconque ose s’opposer à lui. Là où la lumière était la plus vive, les ombres étaient les plus profondes.
« Leather Temple » plonge dans une énergie brute, rythmée et agitée, capturant la colère et le soulèvement dans les bidonvilles avec des riffs de heavy metal, tandis que les synthés néons pulsants rayonnent depuis la Ville Lumière. Il distille une atmosphère électro saturée des années 90, sombre et sans concession, portée par des rythmes vifs, des couches distordues et une tension implacable. »

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Nouveau vidéoclip « Leather Temple » à découvrir