Tenace Part. 2, MASS HYSTERIA

Après la Noirceur, Place à la Clarté !

Voici une version plus légère et humoristique de la critique de l’album « Tenace, Pt.2 » de Mass Hysteria :
Mes amis rockers, attachez vos ceintures ! Mass Hysteria revient avec un album qui va secouer vos neurones et faire trembler vos enceintes. Sept titres qui ressemblent à un cocktail molotov musical, où la subtilité, on la laisse à la porte !

Dès le premier morceau, « L’Inversion Des Pôles », c’est comme si un ouragan de guitares débarquait dans votre salon. Mouss et sa bande ? Ils ne font pas dans la dentelle, non non ! C’est plutôt style « on vient tout casser et on remet les pendules à l’heure » !

Les riffs ? Aussi lourds qu’un éléphant qui aurait mangé trop de poutine. Les textes ? Une masterclass de critique sociale servie avec une sauce piquante made in Mass Hysteria. Quand ils parlent de COVID, d’Assange ou des États-Unis, c’est comme un stand-up politique mais en mode métal !

Le morceau « L’Air Bien » avec Flèche Love ? Un petit bijou punk qui vous donne envie de faire la révolution… mais avec le sourire ! Des chœurs qui sentent bon le Moyen-Orient, une rythmique qui vous chatouille les méninges.

Et « L’Emotif Impérieux » ? Un hymne à la vie qui vous hurle « Allez, on continue, on lâche rien ! » Parce que oui, mes amis, battre son cœur ne s’arrête pas, même quand tout semble perdu.

Le dernier titre, « Le Club Du Feu », c’est un peu comme une veillée où l’on se réchauffe autour d’un brasier de sons, célébrant la vie malgré tout.

Cependant, la petite épine dans le pied, c’est cette idée un peu saugrenue de couper l’album en deux et de le vendre comme deux albums complets. Si vous souhaitez acquérir l’album dans son intégralité, cela vous coûtera 26 € en CD et plus de 40 € en vinyle, ce qui est un peu excessif pour un album, surtout quand on considère que l’ensemble dure moins de 60 minutes et aurait facilement tenu sur un seul disque (au moins en CD). Difficile de ne pas voir là une manœuvre commerciale regrettable, surtout venant d’un groupe comme Mass Hysteria, qui a toujours prôné une idéologie anti-capitaliste. C’est un peu comme si Rival Sons avait décidé de sortir leur album Darkfighter/Lightbringer en deux parties, alors qu’il forme clairement un tout. Dommage que cette initiative vienne ternir la beauté d’un album dont, musicalement, je n’ai rien à reprocher à nos tauliers français.