DEAD CITY RUINS, nouveau vidéoclip « The Sorcerer » à découvrir avant la sortie du nouvel album
22 juillet 2022Nouvel album « Shockwave« , sortie prévue pour le 19 août 2022 via AFM Records
Cinq Australiens impatients s’impatientent : Où est le Rock’n’roll ? – Dead City Ruins nous envoie une « onde de choc ».
Dead City Ruins reste sur sa faim. En 2015, les Australiens ont vendu leurs biens et se sont lancés dans le Rock ‘n’ Roll. Parcourant inlassablement la planète, le quintette a réussi à conquérir le cœur de son public, concert après concert, à l’instar de Rival Sons, Monster Truck et autres pionniers de leur génération. Ils partagent également une liste d’influences avec ces groupes, à savoir Deep Purple, Guns N’ Roses, Zeppelin. Leur but : ramener le Rock ‘n’ Roll aux gens. Ce que ces gars gagnent sur la route, ils le réinvestissent dans leurs conditions de vie difficiles ainsi que dans leur prochain album. Aujourd’hui, « Shockwave » est enfin prêt et marque le quatrième disque du groupe. Pour cela, il fallait que tout change !
Il y a Steve Welsh, par exemple, en tant que nouveau chanteur. « Steve est là pour donner à notre son typique une nouvelle dimension, ce qui est assez excitant », déclare le guitariste Sean Blanchard. Welsh lui-même développe : « Ces gars m’ont réservé un accueil des plus chaleureux ; je n’aurais pas pu rêver de meilleurs compagnons de groupe. Ils m’ont accueilli et m’ont laissé faire partie de quelque chose qu’ils construisaient depuis si longtemps, tout en me donnant tout ce dont j’ai besoin. »
Nouveau chanteur, nouveau producteur
Avant cela, Welsh était surtout actif sur YouTube, où il se consacrait à imiter une pléthore de chanteurs. Il y a un clip où il chante les douze chansons de « Dirt » d’Alice In Chains dans douze styles différents ; allant de James Hetfield (Metallica) à Ronnie James Dio. « J’ai commencé à les faire parce que j’étais autant intéressé par la musique que par la création de vidéos. Sur YouTube, j’ai pu réaliser mes idées tout en gagnant en notoriété. »
Mais il y a plus qu’une révolution dans cet album : « Shockwave » a vu le producteur américain Gene Freeman alias Machine prendre les commandes de la table de mixage après avoir travaillé avec des groupes comme Lamb Of God, Clutch et Crobot. « C’était très amusant », se souvient le guitariste Blanchard. « Nous avons passé une semaine entière à faire de la pré-production. Une fois que nous avons eu les démos et que nous savions où nous voulions aller, Machine a tout démonté et remonté tout en gardant nos idées intactes. Il y a eu quelques moments intenses, mais quand il s’agit de pousser le groupe et de transformer les chansons en la meilleure version d’elles-mêmes, personne ne fait un meilleur travail. » Et ça se voit.
La rage du rock’n’roll
Qu’il s’agisse d’un monstre rythmique comme « Preacher », d’une fête du rock comme « Speed Machine », d’un hymne de festival potentiel comme « Dog on a Leash » ou d’un morceau plus lourd comme « Vision » : « Shockwave » prouve que Dead City Ruins n’a pas seulement un penchant pour l’écriture de chansons, mais aussi pour les arrangements et la bonne énergie. Il ne fait aucun doute que ces Australiens VIVENT le Rock ‘n’ Roll et que « Shockwave » va leur ouvrir de nombreuses portes. C’est en tout cas ce que Tommy Cain voit dans l’avenir du groupe après la pandémie : « Nous voulons partir en tournée dès que possible. Lorsque le monde rouvrira ses portes, nous serons là pour donner le meilleur spectacle de Rock ‘n’ Roll que l’Europe ait vu depuis le lockdown et vous feriez mieux de le croire ! La détermination que nous avons pour nos fans et notre musique n’a jamais été aussi forte. La situation peut prendre la musique live à la gorge, mais nous la surmonterons et vivrons comme nous l’avons fait autrefois ! ».
Nouveau vidéoclip « The Sorcerer » à découvrir